Campement de la communauté des gens du voyage illicite à Annecy
Campement illicite à Annecy :
Reconquête exige la fin de l’inaction et le retour de l’ordre républicain
Le mouvement Reconquête Haute-Savoie prend acte avec gravité des récents événements relatés à Annecy, où un campement illégal s’est installé depuis 18 mois dans le quartier des Ilettes, suscitant la colère légitime des riverains. Il y a quelques mois, la justice a rendu un avis d’expulsion, mais aucune date précise n'a encore été communiquée à ce jour !
Ce phénomène pose plusieurs questions :
- Il traduit une faille grave de l’application des lois et des règlements : la présence d’un tel bidonville, resté sans solution durable, constitue un signal alarmant pour la sécurité, l’ordre public et la tranquillité des habitants.
- Il s’inscrit dans l’un des thèmes prioritaires de notre programme : la reconquête de la maîtrise du territoire, de l’immigration maîtrisée, de l’ordre et de la protection des Français.
- Il accroît la défiance des citoyens envers l’État, envers les collectivités locales, et affaiblit la cohésion nationale quand certains territoires deviennent des zones de non-droit.
Nos demandes :
- Que les pouvoirs publics procèdent immédiatement à la mise en œuvre d’une procédure d’évacuation légale de ce campement, conformément au droit français et dans le respect de la dignité des personnes concernées.
- Que soit mis en place un plan de contrôle et prévention des installations illicites, en collaboration avec les forces de l’ordre, la préfecture et la commune.
- Que l’on offre aux riverains un calendrier clair de restitution de la tranquillité publique, avec engagement de l’État et de la collectivité pour garantir l’ordre, la propreté, la sûreté.
Conclusion,
Le combat de Reconquête est de restituer aux Français leur droit à :
vivre dans un environnement sûr,
voir appliquées sur le terrain les lois votées,
retrouver la liberté de circuler, de résider et d’être protégé.
Nous saluons la mobilisation des habitants d’Annecy qui refusent l’abandon de leur quartier. Nous resterons mobilisés pour que l’ordre public soit restauré et que la France, commune à tous, ne cède pas à l’acceptation de zones d’exception.